dimanche 27 mai 2012

QUELQUES NOTIONS DE LA GÉOMÉTRIE ÉGYPTIENNE


La numération à base décimale
la géométrie née de l'arpentage et de la spéculation des scribes
le cadastre
la méthode de quadrillage dite méthode des carreaux (homothétie et similitude)
le calcul exact de la surface du carré, du rectangle, du triangle, du cercle
la pyramide dans les mathématiques et dans l'architecture
la symétrie (harmonie résultant de certaines combinaisons et proportions régulières)
le calcul exact du volume d'un tronc de pyramide
le Nombre d'Or dans l'architecture
la quadrature du cercle
la colonne
L’obélisque
le calcul exact du volume d'un cylindre
la trigonométrie: calcul de l'angle de pente ou d'inclinaison de la pyramide (la seked)
le calcul exact de la surface d'une demi-sphère
la connaissance de la section plane de la sphère
la clepsydre ou horloge à eau qui est un vase tronconique: la plus vieille horloge de l'humanité
la division du cercle en triangles infinitésimaux ayant le centre du cercle comme leur sommet commun
plans précis d'édifices faits à l'échelle, avec indications des mesures
le tracé géométrique du cercle en utilisant un compas ou une corde
le calcul exact de la surface du trapèze
la compréhension de la constance de l'égalité des surfaces des cercles et des carrés dont les diamètres et côtés sont dans le rapport 8/9: cette constance est un rapport géométrique comparable à la constance de Pi, qui est le rapport géo­métrique entre la surface et le rayon du cercle
L'équerre pour bien déterminer l'horizontalité d'une surface
le fil aplomb pour s'assurer la verticalité d'une paroi
la balance qui est une application du principe du levier: maîtrise de la théo­rie du levier
le chadouf (application du levier à bras inégaux)
L' échelle roulant avec roues fixes (Ancien Empire)
la coudée royale graduée en sous-unités fractionnaires de mesure
la cartographie (méthode de rabattement et des itinéraires)
les Égyptiens se sont posés le problème du calcul de la surface d'une ellipse (d'après L. Borchardt, 1896)
le calcul d'une courbe
l'effort pour l'acquisition d'une vision intellectuelle rigoureuse et exacte de l'univers (titre du Papyrus Rhind)
les géomètres et géographes égyptiens avaient établi la surface de chaque nome ou district du pays (Pierre Montet, 1964)
les résultats exacts étaient néanmoins prouvés: la notion de preuve, au sens mathématique existe dans la terminologie scientifique égyptienne (sity ou ssmt, « preuve »)
les métaux étaient pesés et les grains mesurés au boisseau: les mesures de capacité et les mesures de poids étaient inventées
le système graphique, merveilleux, rendait faciles les opérations (les multi­plications ou les divisions)
les Égyptiens avaient estimé mathématiquement la superficie de leur nation, de leur territoire: on savait communément quela Haute Égypte était longue de 86 atours, la Basse Egypte de 20 atours: les mesures de surface étaient la setat de 100 coudées carrées, le mille de terre de 1 000 coudées carrées et l'atour, un carré ayant un atour-longueur de côté (Pierre Montet, 1964)
les propriétés des nombres et les relations entre les nombres étaient connus

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