samedi 21 janvier 2012

Les 20 jeunes femmes les plus dynamiques d’Afrique

Elles sont jeunes, elles sont belles, et surtout, elles sont talentueuses et ont déjà à leur tableau de nombreuses réalisations dans leurs domaines. Entrepreneurs, visionnaires, jeunes leaders, intellectuelles, elles sont à l’avant-garde de la révolutions socio-économique imminente en Afrique et au coeur de sa renaissance contemporaine. Voici les 20 africaines qui font bouger le continent. CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT:http://angazamag.com/business-finances/entrepreneurs/les-20-jeunes-femmes-africaines-les-plus-dynamiques/2471/

mercredi 18 janvier 2012

UNE CHANSON DE COMBAT & D’ESPÉRANCE: "A CHANGE GONNA COME" (SAM COOKE)

MARTIN LUTHER KING (DOCUMENTAIRE)

MALCOLM X, L'ICONE

LA VIE & LE COMBAT DE MALCOLM X (DOCUMENTAIRE ARTE)

MALCOLM X: LE FILM BIOGRAPHIQUE D'UN GRAND HOMME

C. ANTA DIOP: DISCOURS SUR L’ALIÉNATION CULTURELLE

LA JEUNESSE KONGOLAISE CONSCIENTE

LE CELEBRE DISCOURS DE M. L. KING A MEMPHIS

PROF. COOVI GOMEZ: CONFERENCE SUR SIMON KIMBANGU

mardi 17 janvier 2012

SA MAJESTE LA REINE SHEBAH SAI' RA III: DISCOURS SUR L’UNITÉ & LA DIGNITÉ

Royal Activist for Peace and Human Rights on the African Continent H.I.M Empress Shebah 'Ra - Queen Shebah III the Head of the African Kingdoms Federation at National Traditional Council event! The event had two Key high profile VVIP guest of Honour the African Kingdoms Federation Head H.I.M Empress Shebah Sai 'Ra - Queen Shebah III the ancestral root line Kingdoms Nubia-Sheba Kingdoms Imperial Matriarch and H.E President Ellen Johnson- Sirleaf of Liberia who attended on the closing day. The African Federation Head the Queen of Sheba in speech Called for Unity, Peace and Respect of Kingdoms Traditions and Governments for the progress of Africa, and acknowledgement of the example set by the liberian President for the African women at NTC Event.Event: After over 160 years during which colonisation and at its close a civil war, the Kingdoms and Chiefdoms of Liberia celebrated the Official Commissioning of the Liberian National Traditional Council as an integral part of Government and Governance. During the event special programs was done to celebrate the African Kingdoms and Tribes Traditions and values and a call for unity and Peace throughout Africa.  There were international representation from the United Nations, Jimmy Carter Center and the Diplomatic Corp, alongside Chiefs and African high profile lawyers that gave speeches on the importance of the African Kingdoms traditional leadership and Traditional laws. Which are seen as primary laws in many of the African Countries by the African People. This will be featured in the following edition on AKFChannel.

mercredi 11 janvier 2012

LE PRIX ANZISHA POUR LES JEUNES LEADERS ENTREPRENEURS D'AFRIK

Le Prix Anzisha est offert à des leaders africains âgés de 15 à 20 ans ayant développé et mis en œuvre des solutions novatrices pour résoudre des problèmes auxquels leur communauté est confrontée. Le Prix Anzisha est une initiative de l'African Leadership Academy (Afrique du Sud).

PYRAMID MATHEMATICS: Calculating the SEKED

Marcus Garvey: about Science and African Creation Energy

COSMOLOGY DOGON

Black Kingdoms of the Nile & The Swahili Coast

AFRICAN HISTORY BY AFRICANS

AFRICAN HISTORY: THE NOK

Chimamanda Adichie: The danger of a single story

C. ANTA DIOP: FALSIFICATION DE L'HISTOIRE

HOMMAGE A LA FEMME AFRICAINE

mercredi 4 janvier 2012

TRADITIONS ET CULTURES URBAINES: L'EXEMPLE DE VIVIANE NDOUR

SUITES ET THEOREMES MATHEMATIQUES DU DOCUMENT D’ISHANGO

1-     UNE BREVE HISTOIRE DU DOCUMENT
Le Document d’Ishango a été découvert en 1950 au bord du lac Rutanzige, sur la frontière entre le Congo (RDC) et l’Ouganda par l'archéologue belge Jean de Heinzelin de Braucourt. Il date d’au moins 23.000 ans. Il est exposé au Musée des sciences naturelles à Bruxelles. Il constitue avec le Document de Lemombo (35.000 ans, Swaziland, Afrique australe) les preuves historiques les plus anciennes des mathématiques dans le monde. Les deux documents, à l’étape actuelle des découvertes archéologiques, font incontestablement de l’AFRIQUE NOIRE LE BERCEAU DES MATHEMATIQUES. En février 2007, le journal Le Monde a publié un article sur le Document d’Ishango sous le titre : « Les os incisés d’Ishango font naitre la numération en Afrique ». On peut consulter l’article sur le site : http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=978708
2- SUITES & THEOREMES
Le Document présente trois colonnes d’encoches à traits fins :
-          Sur la 1ère Colonne (Colonne b), on a la suite : 7, 5, 4, 1, 1, 9, 8, 4, 6, 3, = 48
-          Sur la 2ème Colonne (Colonne c), on a : 9, 19, 21, 11 = 60
-          Sur la 3ème Colonne (Colonne a), on a : 19, 17, 13, 11 = 60
Selon Heinzelin, la colonne (b) présente un système de numération de base 10. Les deux chiffres extrêmes de la colonne, 7 + 3 font 10. Juste après le 7, on a : 5 + (4+1) = 10. On a aussi la combinaison 4+6 = 10. La série des nombres de la troisième colonne fait penser à des nombres premiers entre 10 et 20. Pletser découvre quant à lui un système de base 6. Nous y reviendrons dans notre prochaine publication.
Per Heinzelin, les mathématiciens d’Ishango avaient une connaissance parfaite des nombres premiers. Ce qui déconstruit le mythe d’une invention grecque de cette catégorie mathématique.
Il est aussi évident, en étudiant le Document, que les mathématiciens d’Ishango connaissaient et appliquaient les deux théorèmes suivants :

Théorème I: Pour tout entier naturel n, 2(n + 1) = 2n + 2
Théorème II: Pour tout entier naturel n, 3n = 2n + n

Mahougnon S. 

ISHANGO : UN SYSTEME DE NUMERATION A BASE DE 6 ?

ISHANGO & L’HYPOTHESE DE PLESTER
(NB: Pour bien comprendre le propos de cette publication, il est conseillé de lire la publication précédente.)

En septembre 1999, au cours d’un congrès à l’Université de Tsukuba (Japon), Plester propose une nouvelle lecture du Document d’Ishango. Pour lui, la série 5,7 de la colonne (b) et la série 11, 13, 17, 19 de la colonne (a) révèlent un système de numération à base de 6 ou 12. En effet :

5 = (1x6) – 1
7 = (1x6) + 1
11 = (2x6) – 1
13 = (2x6) + 1
17 = (3x6) – 1
19 = (3x6) + 1

En outre, fait remarquer Plester :
Les chiffres 3, 6, 4 se trouvent sur la colonne du milieu. La somme de ces chiffres donne 13. Curieusement, on retrouve le chiffre 13 sur l’autre colonne à gauche. (voir le schéma)
Dans la même logique, les chiffres 5, 5, 7 qu’on retrouve toujours dans la colonne du milieu s’additionnent pour donner 17. Or, on retrouve le 17 dans la colonne à gauche. Pur hasard ou intentionnalité mathématique ?

Il faut signaler qu’il existe en Afrique noire deux systèmes de numération :
(a)    Le système de numération à base de 6 ou 12 :
C’est le cas par exemple du système de numération Yasgua (Nigeria) où on a :

12 = Nsog
13 = Nsoi, ce qui veut dire : nsog + Unyi ou (12 + 1)
14 = nsoava, ce qui veut dire : nsog + mva (12 + 2)
15 = nsoatad, ce qui veut dire : nsog + ntad (12+3)

(b)   Le système décimal ou à base de 20
C’est le cas du système de numération de l’Egypte Négro-pharaonique, le système Fon (Bénin), le système Duala (Cameroun), le système Fang (Gabon), le système Ganda (Grands lacs), etc. Un exemple du système Fon :

10 = Wo
11 = Wo-dokpo, ce qui veut dire Wo + dokpo (10+1)
12 = Wo-we, ce qui veut dire Wo + we (10+2)
13 = W’aton, ce qui veut dire, Wo + aton (10+3)
Ainsi de suite.

Le Document d’Ishango se prête à l’un ou à l’autre de ces deux systèmes arithmétiques. Dans la publication précédente, nous avons montré que le Document peut-être aussi considéré comme un système de numération à base de 10.

Mahougnon S. 

Le FMI va chercher l’argent des pays pétroliers africains

Pourquoi la directrice du Fonds monétaire international choisit-elle deux pays pétroliers pour sa première visite en Afrique ? C’est entre le 19 et 22 décembre 2011 que Christine Lagarde a visité l’Afrique. Le Nigéria d’abord avec le Président Goodluck Jonathan et la ministre de l’Économie Ngozi Okonjo-Iwaela, une ex-Directrice de la Banque mondiale. Ensuite, elle s’est arrêtée au Niger pour rencontrer le Président Mahamadou Issoufou qui sortira son premier baril de pétrole en 2012. Le pétrole attire le FMI (...). Elle a demandé à l’Afrique d’être résiliente comme lors de la crise 2007/2008 en soutenant la croissance mondiale alors que toutes les économies occidentales étaient dans le rouge et récession. Le problème cette fois-ci est différent. Avec un Nigeria qui se positionne comme le premier pays producteur de brut en Afrique avec 2,4 millions de barils par jour, et un FMI en train de chercher des ressources pour imposer son plan d’ajustement structurel aux pays européens en difficulté comme la Grèce, l’Italie, le Portugal, l’Espagne et d’autres sans exclure la France, il fallait brosser dans le sens du poil l’égo des 2 dirigeants africains (Nigéria et Niger). Un programme économique nigérian donnant la priorité à l’agriculture, la transformation et la maîtrise des capacités productives va de pair avec une certaine volonté gouvernementale d’enrayer la corruption et l’image qui colle au Nigéria sur ce sujet. Mais Christine Lagarde est allée chercher de l’argent car le FMI ne peut soutenir la dette européenne sans un apport substantiel des Etats membres disposant d’une capacité d’influence économique. La meilleure façon de convaincre est de rappeler que la crise européenne va « durer » longtemps. Le FMI ne pourra pas financer les crises budgétaires africaines.
Il est donc demandé aux Africains qui disposent d’une marge de manœuvre économique et budgétaire de constituer des réserves pour eux-mêmes, mais aussi pour les autres pays africains. (Sources: La chronique Afrocentrique di Yves AMAIZO. http://www.africa1.com/spip.php?rubrique133

Mwangwego et l'invention de l'écriture malawite

Un linguiste du Malawi, il a inventé en avril 1979 un système d'écriture pour écrire les langues de son pays afin de permettre aux Malawites d'innover et d'inventer dans leur langue. L'idée lui est venue en tête le 10 novembre 1977 en remarquant qu'en Chichewa et en Kyandole le mot "ÉCRIRE" existe soit "KULEMBA" en Chichewa et "KUSIMBA" en Kyandonde. Ainsi, il était convaincu que la notion d'écriture n'était pas étrangère à son peuple avant l'arrivée des Européens. Il a mûri son projet pendant plusieurs années jusqu'à le compléter totalement en 2003. Depuis lors, plusieurs clubs se forment à travers le pays pour apprendre cette écriture. Pour apprendre à lire et à écrire avec le Mwangwego Alphabet, consultez le lien suivant: http://mwangwego.com/how_to_write.htm